Ca va chauffé [pv]

Il faisait nuit, il était tard...très tard et il n'y avait aucun bruit, a par les quelque hululement d'un hibou. Le paysage semblait endormis et calme et pourtant... Un jeune garçon ne dormais, il devait a peu près avoir 1. Il s'était réveillé en sursaut en pleine nuit, il l'avait senti tout de suite, ça bouillonné en lui. Il s'était alors eclipsé doucement prenant bien garde de vérifie que tout le monde dormais. Il le savait, ce soir, n'allait pas être son soir. EN effet le garçon sentait toujours quand son pouvoir allait faire des siennes. Il arriva a l'ancien chemin de fer, comme a chaque fois qu'il y venait, il frisona. Il se dirigea vers la porte de gare son le regard des fantômes. Il entra, comme la dernière fois, tout était poussiéreux mais au moins ce n'était pas en bois, il trouva un pièce qu'il trouvait plutôt sécurisé. Il regarda le mur et vit des anti-incendie, il se dit:

*parfais*

Il ferma a clée la porte de la petite pièce. Si jamais par pur hasard quelqu'un venait par ici, il ne pourrais pas entrée, il préférer ne rencontré personne. Il s'assit sur le sol sec et pousiereux puis ferma les yeux pour ce concentrer. Quelque minute plus tard, une des chaise de la piece prenais feu ainsi que...la moquette. Le garçon ouvris les yeux et dégluti, il ne s'était pas aperçu qu'il sagissez d'un moquette a cause de toute la poussière, il leva les yeux mais l'eau ne sorti. Il compris son erreure... il venait de se bloquai dans la fournaise et pourtant il resta assis a attendre que quellque chose veuillent bien se passait

Les draps s’agitèrent sous l’effet d’une légère brise qui vint caresser les cheveux de la jeune fille. Si ses paupières étaient fermées son esprit, lui, demeurait en éveil à l’affût du moindre prétexte pour pouvoir quitter cette chambre où elle étouffait.
A côté d’elle, elle entendait les douces respirations de ses camarades de chambre. En silence, elle ouvrit la bouche et entreprit de mordre le plus fort possible son oreiller, énervée de l’humiliation qu’elle subissait seconde après seconde. Elle pouvait deviner sans problème les ricanements et les remarques qui devaient pulluler les couloirs de son ancienne école.
En quelques jours, elle savait qu’elle était devenue la risée de tout le beau monde aristocratique. Ses anciens « amis » étaient sûrement enchantés d’avoir enfin trouvé matière à parler sur son dos, elle qui avait tout et qui se vantait d’être si parfaite. Bande d’imbéciles ! Attendez un peu. Elle ne resterait pas enfermée dans ce pensionnat bien longtemps. Très bientôt, ils la reverraient, assise à sa table habituelle, et elle pourrait recommencer à exercer son activité favorite : critiquer les autres.
Hypocrite ? Ça oui. Mais au moins n’essayait-elle pas de le cacher. Quand elle détestait quelqu’un, elle n’attendait pas le « bon moment » pour le lui dire. Son père aurait au moins pu apprécier cette franchise rare et précieuse. Abruti va !

Elle tira d’un coup sec sur ses draps dans l’espoir de trouver le sommeil, mais Morphée semblait l’avoir oubliée. Elle avait été rayée du si long voyage qu’exécutait chaque soir le marchand de sable et elle se retrouvait condamnée à écouter sans pouvoir hurler ces idiots qui cohabitaient avec elle… De quoi en devenir folle.
Résignée, elle se leva et chercha dans le noir de quoi se vêtir, prenant les premiers habits qui lui tombèrent sous la main. Ce fut dans la salle de bain qu’elle eut le plaisir de constater qu’elle avait si désespérément agrippé sa jupe courte écossaise ornée d’une chaîne sur le côté et de son chemisier blanc.
Elle les enfila le plus rapidement possible, se démenant un moment avec son collant beige et quitta la salle de bain, saisissant, en sortant de sa chambre, ses bottes, d’un blanc crémeux, munies de petits talons qui claquaient sur le sol lorsqu’elle marchait… Un véritable délice.

Elle se dépêcha de quitter le pensionnat, son enfer sur Terre et de s’engager sur des petits chemins de campagne, amusée d’être seule aussi tard. Avant, elle n’aurait jamais eu l’occasion de se balader ainsi, sans personne pour l’accompagner. Elle aurait eu trop honte d’être esseulée, ayant toujours été entourée d’une bande d’amis prêts à tout pour entrer dans ses faveurs, poussés par leurs parents qui désiraient accéder au carnet d’adresse très restreint de la famille Fried.
Mais là, non. Elle pouvait se promener et agir à sa guise sans avoir peur de ternir l’image de son père. Maintenant, elle s’en fichait bien. Après tout, c’était lui qui avait commencé, pourquoi diable devrait-elle continuer de fournir des efforts pour cet ingrat incapable d’éprouver la moindre reconnaissance à son égard ?
Grâce à qui avait-il eut accès aux autres grandes pompes de la société ? Elle, bien évidemment ! Parce que c’était elle qui avait su faire miroiter aux enfants de ces familles une pseudo amitié qui avait permis à son père de se servir de leurs parents, éblouis par la puissance des Fried.
Alors si cet idiot était incapable de voir combien sa fille lui était utile… Libre à lui.

Elle arriva très vite devant une ancienne gare à l’aspect encore plus miteux que le pensionnat qu’elle venait de quitter. Sûrement était-elle abandonnée et cette vision arracha une grimace de dégoût à Eren qui contempla longuement l’endroit, hésitant à entrer dans un lieu aussi sale.
Nul ne saura jamais ce qui la poussa à se diriger vers la gare, mais c’est ce qu’elle fit, tirant fermement sur la porte de l’entrée et pénétrant à l’intérieur de l’ancienne bâtisse.

Au moins pouvait-elle se vanter d’avoir eu raison. Tout miteux et en mauvais état. Autant dire que la gare n’était plus que l’ombre d’elle-même. Elle respira profondément et s’arrêta… Quelque chose clochait. Une odeur de brûlé flottait dans l’air… Une odeur qui n’aurait pas dû se trouver là.
Elle tourna la tête, fouillant l’endroit du regard à la recherche de la source de cette odeur et aperçut des flammes de l’autre côté d’une porte qui était munie d’une vitre vers laquelle elle se précipita le plus vite possible. Collant son nez à la vitre, elle remarqua un garçon, au milieu d’un feu qui avait commencé à dévorer la moquette destinée au début à simplement décorer la salle.
Tout son orgueil et toute sa fierté s’évaporèrent en un instant. Sa main alla chercher la poignée de la porte qui refusa de céder à sa demande et elle entreprit de frapper de toutes ses forces contre le carreau, cherchant à attirer l’attention de l’inconnu.

« Eh ! Qu’est-ce que tu fais là-dedans ?! Comment es-tu entré ?! »

S’écria-t-elle, priant pour que le garçon l’entende.

Natsume regarder les flamme, produit de son pouvoir, il s'était toujours demandait si... Soudain le jeune homme eu une idée qui allait peut étre brulé sa chemise qui lui avait coutai si cher, il soupira quand son idée fut arrêter par une sorte de murmure. Le garçon leva ses yeux aussi rouge que la braise vers la porte, il aperçue un visage plutôt féminin dérrière la vitre. Il se demandait ce que faisait une jeune fille a un heure pareil dans un telle endroits. Il hassa doucement les sourcil et lui lança

Tu fairais mieux de t'éloignai de cette porte si tu ne veux pas voir ta figure se retrouvait pleine de cloque, il est déjà assez moche comme ça

Lui aussi avait son franc parlé mais si il était souvent si méchant, c'était pour éloignée les gens du dangers qu'il representer, son regard était toujours aussi froid. Sans plus s'ocuper de la jeune fille, il regarda ses flammes et se dit qu'il ne pouvait plus faire marche arrière, il remonta sa manche et mis soudainement sa mains ans le brasier, il ferma les yeux s'attenant a sentir une douleur mais rien ne vient, étonné il ouvris les yeux, sa main était toujours dans le feu

* mais oui, je peux créer des boule de feu mais je ne sens ni sa chaleur ni sa brulure*

Il retira sa main, aucune cloque n'était aparue. Il regarda la jeune fille puis enleva ses vêtement ( a par son caleçon XD). Il dévérouilla doucement la porte et tendis ses vêtements a la jeune fille

Et la roturière... tu voudrais pas mettre mes vêtements sur cette table ? Il m'ont coutais cher.... c'est de la soie alors j'ai pas envie qu'elle crame

A c'est mot il lui donna ses habits et referma la porte a clef et se rassit au millieu du brasier, au moins il ne fairait pas de victimes

[désolé XD]

Urgh ! Non, mais c’était quoi ce gosse ? Pour qui se prenait-il pour s’adresser à elle de cette façon ? Sale gamin ! Elle recula, énervée. Les flammes consumaient de plus en plus l’intérieur de la pièce dans laquelle il était enfermé. Qu’il meurt tiens ! Ainsi, elle pourra rire au-dessus de son cadavre et s’extasier à coups de « je te l’avais bien dit ».
Elle tourna le dos à la porte et alla chercher une chaise sur laquelle elle s’assit pour pouvoir assister, sans se fatiguer, à la mort de ce jeune inconscient. S’il ne voulait pas qu’on l’aide, grand bien lui fasse ! Ça lui éviterait de salir ses habits pour un demeuré.
Elle le détestait déjà avant même de le connaître. Savait-il seulement à qui il avait osé parler ainsi ? Encore un ignare qui ne lisait pas les journaux et ne connaissait pas cette merveilleuse technologie qu’était la télévision.
Elle avait l’impression d’être revenue au Moyen-Âge avec tous ces abrutis. Bientôt, ils allaient organiser des festivités avec un duel entre chevaliers vêtus d’armures ridicules et arborant fièrement l’effigie de leur dame de qui il recevrait un baiser si jamais ils parvenaient à gagner… Tout cela pour célébrer en grandes pompes leur régression.

Elle croisa les jambes, contente de constater que la moquette flambait bien. Mais, petite chose qui gâcha complètement son euphorie, fut l’ouverture de la porte sur le garçon qui s’affichait, sans la moindre gêne, en caleçon, pour lui tendre ses vêtements et, pour rajouter une couche à son énervement déjà bien présent, il l’interpella en utilisant le mot qui la faisait frémir d’horreur « roturière ».
Là, elle ne se retint plus. Elle le laissa s’enfermer à nouveau au milieu des flammes, peu préoccupée par son sort et même heureuse qu’il finisse griller pour se consacrer entièrement à sa prochaine tâche : détruire ces habits qu’elle avait dans les bras.

Laissant le garçon à la merci des flammes, elle entreprit de fouiller la gare à la recherche d’un moyen de faire de ses vêtements une boule immonde et irrécupérable. Bien fait tiens !
Elle remarqua un distributeur et sourit en se dirigeant vers lui. Là, elle glissa une pièce et fit sortir la première boisson qui accepta de tomber avec l’argent qu’elle avait donné pour ensuite la verser soigneusement sur la « soie » si précieuse aux yeux de l’inconnu. Sa folie n’étant pas rassasiée, elle jeta les vêtements par terre et les écrasa consciencieusement, animée d’une envie de détruire qui lui ressemblait bien.
Elle ramassa les habits qui n’étaient plus que l’ombre d’eux-mêmes pour se diriger à nouveau vers la porte où elle regarda où en était la crémation de ce jeune inconscient. Pour son plus grand regret, elle constata avec tristesse que celui-ci ne semblait pas souffrir des flammes qui dévoraient allégrement sa peau. Pourquoi ? Pourquoi diable ne pouvait-il pas hurler de souffrance comme tout le monde ?!

Prenant vite la mouche, elle se jeta sur l’extincteur le plus proche et l’abattit de toutes ses forces sur la poignée de la porte, prête à tirer du feu le prolétaire pour ensuite utiliser son pouvoir. Elle avait bien compris que le garçon devait en posséder un et que celui-ci était sans nul doute en rapport avec le feu. Elle le forcerait ainsi à faire cramer ses vêtements, pour le plus grand bonheur de la demoiselle qui regarderait cet inconscient détruire de ses propres mains ce qu’il restait de ses habits.

Ses efforts ne furent pas vains puisqu’elle réussit, avec beaucoup de volonté, à entrer dans la pièce où la chaleur l’assaillit. Elle toussa, crapahuta, évitant les flammes qui menaçaient de faire d’elle une véritable torche humaine pour se jeter telle une furie sur le garçon.

« Roturière, hein ? »

Marmonna-t-elle. Elle plaqua ses deux mains sur le visage du gamin et plongea ses yeux dans les siens. Aussitôt, cette sensation chaude qui s’infiltrait en elle à chaque fois qu’elle utilisait son pouvoir jailli et elle eut un sourire.

« Que dirais-tu de brûler tes vêtements ? Ils sont moches et je suis sûre que tu n’en as pas besoin. Ça va être drôle, tu vas voir. »

[Hj : Niark, niark, niark ! XD. Vengeance !].

Le jeune garçon claqua méchamment des ailes quand il vis la jeune fille aparaitre dan la piéce, n'avait elle pas compris que c'était dangereux ? Il posa son regard froid sur la jeune fille la traitent mentalement de tout les noms. Elle semblait ne pas avoir aimé qu'il l'insulte de roturière. Mais un hyûga ne se laissé pas malmenai sans rien dire. Une drôle de sensation l'emplis quand elle le fixa. Pourquoi avait t'il soudain envie de brulé ses vêtement ? De toute façon il en avait d'autre qui valait bien plus cher. Il dit donc

-Ok

Mais que lui prenait t'il ? Il ne devait pas utiliséses pouvoir, pas dans un telle moment. Ses habits prirent feu mais ne contrôlent plus son pouvoir, la jeune fille pris elle aussi feu. Lui le feu ne le génée pas mais elle, ça devait être autre chose. Reprenant conscience, il lui dit:

Frenchement, pourquoi crois-tu que je mettait enfermé, je te conseil de te roulé rapidement par terre ou de me donné l'extincteur avant de finir carbonisée. Tu as de la chançe que je veuillen bien t'aidai

Il soupira et claqua un fois de plus ses ailes dans son dos

Je contrôle plutôt mal mon pouvoir, c'est pour ça que je me suis enférmée ici mais quand je t'ai envoyé ....enfin bref

Il senti qu'il reprenais le contrôle de ses pouvoir et les flames disparurent.

Au faite, je m'apelle Natsume Hyûga

Il commençait a séloigné poiur chercher des vêtement car se promenai en caleçon n'était pas agréable. Le nom hyûga était connue pour sa richesse, sa façon d'élève les enfants et aussi pour la mort mistérieuse d'une des épouse

Les vêtements prirent feu, pour son plus grand plaisir, mais, ce qu’elle n’avait pas prévu et qui la surprit tout d’abord fut que les flammes commencèrent à lécher ses doigts en une douce douleur qui s’intensifia lorsqu’elles prirent de l’assurance pour faire d’elle une véritable torche humaine.
Elle prit feu, au sens propre du terme. Elle n’arrivait plus à distinguer les contours de la gare, mordu de toute part par une souffrance qu’elle ne connaissait pas et ne comprenait plus. Il lui semblait que sa tête allait exploser alors que le garçon qui était la cause ouvrait la bouche pour prononcer des paroles qu’elle ne comprit pas. Espèce de pauvre fou !
Et puis, aussi vite qu’elles étaient apparues, les flammes se retirèrent, laissant une Eren haletante et s’examinant sous toutes les coutures pour vérifier que rien ne manquait. Elle s’approcha d’un miroir et constata avec soulagement que ses vêtements n’avaient pas souffert et, réflexe devenu familier, elle approcha lentement ses doigts de cet œil rosé qui l’obnubilait tant. L’autre était pourtant normal, brun… Alors pourquoi cette différence ?

Elle secoua la tête, consciente que le moment était mal choisi pour partir dans des questions dont elle n’aurait jamais la réponse et se retourna, faisant face au gamin. Elle n’avait pas encore pris le temps de bien le détailler et ce ne fut qu’à ce moment-là qu’elle remarqua les ailes présentes dans son dos… Quel âge avait-il pour vouloir encore s’affublait d’un costume aussi ridicule ? Elle l’imaginait bien en train de faire un caprice à ses parents, geignant sans fin qu’il voulait à tout prix ces ailes.
Cette pensée lui arracha un sourire ironique qui disparut bien vite lorsqu’il prononça son nom. Natsume Hyûga. De la famille Hyûga… ? Elle eut une grimace. Comment un fils Hyûga avait-il pu se retrouver dans une école aussi miteuse que celle-là ? Sûrement avait-il été déshérité ou quelque chose du même genre. Aussi, il ne représentait aucun intérêt pour elle et elle se détourna bien vite des avantages qu’il aurait pu représenter.

Il partit en quête de vêtements et elle leva les yeux au ciel en le voyant fureter au hasard dans la gare. Pff… ! Ce n’était pas elle qui irait le renseigner sur le meilleur endroit pour dénicher des habits à peu près décents dans une gare désaffectée. Elle savait où elle irait fouiller, mais refusait de partager cette idée avec ce jeune prétentieux.
Elle s’assit à nouveau sur la chaise qu’elle avait apportée, ses jambes tremblant trop pour qu’elle puisse tenir debout plus longtemps. Malgré ses efforts pour paraître impassible, elle avait du mal à cacher les frissons de peur qui parcouraient régulièrement son corps et qui, s’il les voyait, rempliraient sûrement cet arrogant de satisfaction.

Croisant les jambes, elle pinça les lèvres, se contentant de l’observer, maudissant intérieurement la moindre parcelle de ce Natsume Hyûga, peu impressionnée par le prestige qui pouvait représenter son nom.

« Eren… »

Commença-t-elle, n’oubliant pas les règles de bienséance qu’elle devait à son rang. Son père ne le lui pardonnerait jamais si elle oubliait d’être polie et sûrement qu’il n’hésiterait à prolonger son séjour ici de quelques mois, voir quelques années, supplémentaires si jamais elle osait déplaire à quelqu’un, prolétaire ou non.

« Eren Fried. »

Elle commençait à trouver ennuyant le fait de regarder le garçon chercher des vêtements.

« Comme ton intelligence m’a l’air exceptionnelle, je suppose que tu as bien évidemment pensé à aller regarder dans les casiers des employés de la gare… »

Dit-elle, ne pouvant cacher la pointe d’ironie qui la trahissait et empêchait de faire passer ses intentions comme honorables et dépourvues de la moindre arrière-pensée.

[Hj : Désolée du retard >.< ].

Natsume continua a chercher les vêtement sans plus faire attention a la jeune fille, d'ailleur, il ne fit pas du tout attention quand elle lui dit ou chercher. Il lui semblait pourtant qu'il avait oublié des vêtements la dernière fois mais ou ? Ca yé il s'en souvenais, il passa devant la jeune fille et sorti du hall, il pénétra dans le train puis rerentra dans la salle, il était de nouveaux habillé, Kokoro et Aska qui avait suivit les trace du garçon, l'accompagnai. La boule blanche regardais la jeune fille (Aska) il avait déjà compris que son maitre n'avait pas était aimable avec celle-ci, pour escusé son comportement, il dit dans lat tête a celle-ci

Aska: Je sais que ce qu'il ta dit t'a bléssé, il n'ai ni méchant...ni prétentieux, l a juste peur de faire mal au autre, il ne contrôle pas son pouvoir, tu as pus toi même le constaté...Comme pour tout les autre, il n'a fait que de te repoussé pour ne pas te faire mal... Et si il est ici c'est parcequ'ils ont eu peur de lui et de son pouvoir

Natsume ne se doutait pas du tout que Aska lui avait parlais et regardait s'il n'avait pas fait trop de dégat. Le garçon remarqua quelque chose en auteur, il s'envola et failli cognais sa tête au plafon, il aperçu un magnifique couteau avec un menche en or, ce menche représentée un cobra, ses yeux était 2 petit rubis

*cool*

[pas grave]

Le sale gosse continuait à l’ignorer. A priori, il était autant intéressé par Eren qu’elle l’était par lui et il était rare pour la jeune demoiselle de rencontrer des gens adoptant la même attitude qu’elle vis à vis des autres. Mais, bien que tout cela l’agace profondément, elle préféra ne rien dire pour l’instant, réfléchissant à un nouveau moyen d’utiliser son pouvoir sans, cette fois-ci, avoir à en subir de désastreuses conséquences.
Il était en effet toujours plus drôle de convaincre quelqu’un de faire quelque chose sans que l’action ne nous retombe dessus.

Son plan machiavélique et terrible s’était mis en marche et elle peaufinait les derniers détails quand une voix surgit dans sa tête.
Aussitôt, elle fouilla l’endroit du regard, à la recherche de celui ou celle qui semblait maîtriser la télépathie et rencontra sur son chemin une boule de poils blanche qui semblaient la regarder. Écarquillant les yeux, elle lorgna avec surprise cette étrange créature, intriguée de voir un animal ayant la capacité de communiquer avec elle.
Les seules bestioles qu’elle avait eu le plaisir de côtoyer avait été des chats, des chiens, des oiseaux, des rats, et autre créature pas forcément très attrayantes, mais dont l’originalité plaisait à la jeune fille… Mais, aussi excentriques que soit ses goût, elle n’avait jamais eu le plaisir de pouvoir parler avec ses animaux, ayant droit à des miaulements plaintifs ou des aboiements assourdissants à chaque fois qu’elle se risquait à ouvrir la bouche. Aussi, elle avait bien vite renoncé à l’idée d’établir toute forme de contact avec eux et se retrouvait démunie face à cette curieuse créature qui lui faisait face, trop choquée pour oser répondre.

Si son cerveau avait été dans la capacité de fonctionner, elle aurait certainement répliquer qu’elle n’avait que faire des états d’âme d’un petit garçon et que ses peurs ou ses craintes ne représentaient pour elle qu’un ridicule grain de sable dans l’immensité du Sahara.
S’il voulait quelqu’un pour le protéger et l’écouter, ce n’était pas vers Eren qu’il fallait se tourner et la demoiselle était bien peu encline à servir de nounou à un gosse.
S’il se sentait seul, qu’il reste avec sa carapace de glace, il était très bien ainsi, les garçons pleurnichards n’ont jamais attiré personne.

Levant le nez vers le plafond vers lequel Natsume Hyûga, rhabillé depuis avec des habits sortis d’on ne sait où, voletait « joyeusement » avec l’aide de ses petites ailes, elle afficha une grimace alors que la fée clochette dénicher, caché dans un recoin, un couteau valant certainement très cher.
Un léger soupir à peine audible jaillit de ses lèvres alors qu’elle était en train d’estimer à combien pouvait s’élever le montant de l’arme blanche. Avec ça en sa possession, elle aurait trouvé comment déclencher l’intérêt de son cher et tendre paternel dont le seul désir aurait alors été de la faire revenir à la maison et de la féliciter pour la découverte d’un objet aussi précieux qui lui garantirait quelques millions supplémentaires.
Pleurant intérieurement sur son infortune qui lui collait à la peau, refusant de la lâcher, elle jeta un coup d’œil à l’animal qui avait cru bien faire en s’excusant à la place de son maître avant de revenir vers le garçon qui devait sans doute ignorer la valeur de ce qu'il tenait entre les mains.

« Depuis quand les animaux parlent-ils ? »

Demanda-t-elle, relâchant enfin cette question qui cognait violemment à la porte de ses lèvres dans l’espoir de sortir le plus rapidement possible.
Pinçant, frappant, tournant inlassablement la poignée, Eren avait fini par lui céder et avait accepté de la laisser jaillir avec toute sa force. Sa voix avait claqué, sûre d’elle, elle n’admettait aucune réplique quelle qu’elle soit et était assez forte pour être certain que le gamin l’entende.
Au moins, s’il ne répondait pas, elle saurait que ce n’était pas dû à des oreilles légèrement défectueuses.

Narsume rangea le couteau pour ne pas qu'on lui vole. Il entendit les pas de la jeune fille se rapproché, il la regarda froidement, il l'entendit lui posait une question. Il regarda le petit animal qui semblait avoir compris qu'il allait lui passait un savon. Il la regarda bien dans les yeux, comme si il s'aprété a répondre, sauf qu'aux dernier moment, il se mit a regarder Aska et c'est a l'animal qu'il s'adressa et non a la jeune fille.

- t'a fais quoi encore ? Tu sais bien que je n'aime pas que tu parle dans mon dos...

Il soupira encore une fois, il parti doucement refaire sa petit exploration, sans plus s'occuper de la jeune fille. Il monta doucement les marches qui se mirent a grincé. äs très rassurant tout ça... Natsume lui ne semblait pas s'en inquiéter, il continuer a marcher silencieusement, tel un fantôme venue hanté une maison . Il aperçu un troue dans le planché, il se rapellé être tombé a cause du sol totalement pouris, la vision qu'il avait eu a ce moment la le fit légérement tremblé mais ce fut tout, il passa le troue et continua son chemin vers les coin inconnue, la plupart des salle était en si mauvaise état qu'il ne pus y rentré, mais il trouva une petite pièce... surement un salle d'acceuille. Il y avait encore plein de siége qui était maintenan pousieureux, certains avait était grignoté par les rats mais ils était tout de même potablement confortable, le jeune garçon les tesa un part un, soulevant pas mal de poussière puis, il décidea de continuer son inspéction...Encore une salle vide... et encore une autre. Décidément, il n'avait pas de chançe.

Ce fut la petite créature qui se fit enguirlandée par son maître et elle ne pu s’empêcher de penser que celui-ci était bien injuste. Pauvre bête ! Elle n’avait rien fait sinon lui fournir quelques informations sur les états d’âme d’un petit garçon de… Quel âge pouvait-il bien avoir d’ailleurs ? À première vue, il avait l’air de ne pas encore être entré dans l’adolescence. Bah ! Elle ne portait pas assez d’intérêt au jeune garçon pour jouer aux devinettes plus de quelques secondes. Aussi, elle abandonna bien vite la partie.
Son interlocuteur se dirigea sans plus se préoccuper de son sort vers les escaliers pourris et branlants qui menaient vers les étages. La gare était vieille… Très vieille… Et, en lui suivant, le bois craqua désagréablement sous ses pieds alors qu’elle s’agrippait de toutes ses forces à la rampe par peur de tomber. C’était encore un coup à se casser la figure sans plus de cérémonies.

Soupirant et se résignant, ne cherchant pas à savoir pourquoi ses jambes la poussaient à suivre le petit garçon qui avait disparu devant elle, elle poussa la première porte qui lui tomba sous la main. L’ouverture dégagea un nuage de poussière qui lui arracha une toux sèche et persistante durant plusieurs minutes avant qu’elle ne se calme.
Elle avança doucement. La pièce, privée de lumière, ne comportait aucune fenêtre et était tellement sale que tout ce qui avait dû être blanc à l’origine était à présent d’un gris terne et misérable. Il était difficile d’imaginer cet endroit blindé de monde où, de temps à autre, une personne se lever pour se diriger vers cette ancienne machine à café et insérer la pièce dans cette fente à moitié détruite… Juste pour passer le temps.
Comme ils avaient dû s’ennuyer, assis là, sur ces fauteuils dépareillés dans l’attente d’un train qui ne passerait peut-être jamais. Si un cadavre s’était trouvé là, vestiges d’une personne ayant patienté de nombreuses années, elle n’en aurait été que très peu surprise. L’ambiance rendait la découverte de possibles macchabées moins attrayante.
Tournant les talons, elle referma doucement la porte derrière elle, veillant à toucher le moins possible la poignée, dégoûtée de sa première expérience.

Sur sa droite se trouver une nouvelle volée de marches qui la conduisit encore plus hauts. L’idée folle d’atteindre les nuages grâce à ce vieil escalier traversa momentanément son esprit avant qu’elle ne secoue la tête et ne retrouve son arrogance habituelle… Bref instant de folie à jamais perdu, mélangé avec les autres souvenirs que contenaient la gare.
Valsant entre les pièces, ouvrant des portes et en refermant d’autres, Eren mit longtemps avant de retrouver le petit Natsume Hyûga dont la mine déçue ne pu que rendre le sourire à une jeune demoiselle totalement déboussolée par tant de saletés.
C’est donc gaiement qu’elle se dirigea vers lui, veillant à ne pas ouvrir la bouche de peur que la réplique du garçon ne la pousse à commettre un meurtre et à se retrouver illico en prison, elle le dépassa, faisant attention à ce qu’il la suive.

Jouant les habitués alors qu’elle ne connaissait rien à l’architecture de la gare, Eren marcha d’un pas décidé dans un couloir au sol jonché de nourriture à moitié mangée par les vers, de bouteilles en plastique vides et autre substance plus ou moins identifiables, rongées par le temps et les bêtes qui avaient succédé les humains comme maître des lieux.
Au fond du couloir se trouver un nouvel escalier qu’elle emprunta, curieuse de savoir si tout cela allait la mener au toit de cette gare désaffectée ou à un grenier poussiéreux et ancien. Tout en haut se trouvait une trappe qu’elle poussa péniblement et d’où tomba une échelle. Elle n’hésita qu’un instant avant de poser pieds et mains sur les barreaux et de grimper, veillant à ne pas salir ses talons.

En ce lieu, elle découvrit ce qu’elle supposa être un grenier de grand-mère où, étaient entassés pêle-mêle, des horloges usées par le temps, de vieux canapés éventrés dont la mousse tapissait le sol, des tableaux, des peluches perdus, des casquettes abandonnées, et d’autres objets plus ou moins intéressants qui ne l’intéressèrent pas.
Ses yeux se dirigèrent vers deux portes vitrées qu’elle emprunta pour se rendre sur une immense terrasse. Là, elle pu contempler les anciens rails qui serpentaient les alentours pour aller se perdre à l’horizon, imaginant les vieux trains qui avaient probablement circulés ici durant de nombreuses années… Son train à elle était beaucoup plus joli.

Natsume vis la jeune fille passait devant lui sans rien dire, alors comme ça, elle l'avait suivit ? Et bien lui aussi allait la suivre. Il décolla du sol et la suivit dans le plus grand des silence, elle visitée les lieux avec un curieusité qui lui semblait propre. Natsume attendit qu'elle sorte sur le balcon pour fermé la porte dérrière elle, cette fois la encore dans le silence le plus parfais. Il se demandait qu'elle serait sa réaction quand elle découvrirait qu'il l'avait enfermé dehors. Il imaginait déjà l'entendre hurlé dérrière la vitre et... il s'en régalé déjà. Il se mit doucement a fouillé un peu partout, Il mis de la poussière sr les vêtement qu'il avait trouvait et qui lui appartenais. Il regarda la jeune fille qui dehors, semblait regarder le paysage sombre et brumeux. Le garçon se fit un malin plaisir de toqué le plus fort possible contre la vitre pour qu'elle entende. Quand elle l'eu vue, il lui tira nonchalamment la langue et lui dit

Bon je crois que je vais y allé, tu aura peut être un peu froid, je t'ai posé une petite couverture.

Il claqua des ailes et fit semblant de partir. Il se posa contre le mur froid et attendit la réaction de la jeune fille.