Chambre 48 : Kyumi Misako, Toshiro Kasuke, Oguri, Misuzu

Chambre 48

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Misuzu venait d'arriver dans sa nouvelle chambre les volets étaient fermés il faisait sombre dans la pièce et chaud à mourir.
Misuzu se précipita vers les fenetres pour les ouvrir à priori ces colocataires devaient être sorti,voyant le seul lit disponible Misuzu s'avanca dans sa direction d'un pas mal indéterminé.
Elle jeta ses valises sur son lit mais malheuresement celle-ci mal fermé tous ces vetements volerent dans la chambre ainsi que ces livres.
Misuzu épuisée se laissa tomber sur le lit puis s'endormit.
Quelques minutes ou heures apres Misuzu fut reveillé par une voix stridente.

Toshiro c’était enfin décider à entrer dans la chambre.
Kyumi le suivit de près et contempla chaque recoin de la chambre.
Son cœur se serra à l’instant où son regard se heurta sur un livre jeté au sol.

- Kiiiiaaaaaaa !!!!!

Elle bouscula Toshiro en se précipitant sur le roman, puis s’agenouilla sur le sol pour le ramasser avec délicatesse.
*Comment peut-on négliger un tel livre ?! >o<*
Ce livre, c’est le tout premier roman qu’elle avait choisit de lire, il appartenait à sa mère.
Ça réaction paraissait peut-être exagéré, elle savait éperdument que ce n’était qu’une copie parmi tant d’autre, mais elle se refusait de le voir ainsi.
Ce rendant compte de sa soudaine intervention, elle releva son visage vers la jeune fille assoupi, espérant qu’elle ne l’ai pas réveiller.

Invité

Kyumi venait de bousculer Toshiro, le faisant ainsi trébucher lorsqu’il se prit le pied dans sa propre valise.
Il se heurta rapidement contre le sol dans un cri étouffer.
La douleur venait de lui faire pousser un pelage blond sur les bras, ce qu’il fit disparaître a l’instant où il s’en aperçut.
Ses sentiments prenaient parfois le dessus à son pouvoir, et dans ses moment, ils se sentait faible fasse à lui, ne pouvant pas le contrôler à sa guise.
Heureusement, sa chute n’était pas trop douloureuse.
Il regarda Kyumi un instant avant de se relever, se demandant ce qui pouvait bien pousser la jeune fille à se jeter ainsi sur le livre, d’autant plus qu’il ne lui appartenait pas.

Oguri se décida enfin a aller dans sa chambre, il monta les escaliers, arriva dans le couloir où se trouver sa chambre, il avança cherchant des yeux le numéro quarante-huit, une fois qu'il l'eut trouver il s'aperçut que s'est colocataire était déjà arriver, il entra dans la chambre et vu qu'un fille était accroupi a coté d'un livre comme si ce livre était d'une valeur inestimable.
-Tss !
Oguri fit un signe de négation avec sa tête puis s'avança jusqu'à son lit, il posa son casque de moto sur son bureau et rangea ses clé dans le tiroir, puis il s'allongea sur son lit.

Invité

Misuzu dormait de son plein quand soudain elle entendit des voix.
Misuzu sortit de sous sa couette voyant tous ces colocataires arrivés,en les voyant Misuzu faillit tomber dans les pommes elle ne pensait qu'ils arriveraient maintenant de plus tous sa valise était éparpillée par terre mais le pire c'était qu'elle pensait qu'il n'y aurait que des filles dans sa chambre.
Alors évidemment elle était en pyjamas.
Profitant de l'inatention de ceux-ci elle se faufila à quatre pattes dans la salle de bain en esperant que personne ne l'ai vue

Oguri regardait le plafond, il ne pensait qu'a une chose: pourquoi les Yakuza l'avait envoyer ici?
*Pourquoi ils m'ont envoyé ici ?*
Oguri resta un moment a réfléchir, puis il finit par se faire une raison, soudain, il entendu du bruit vers la douche, il tourna la tête et vue une fille qui se faufilait en douce dans la douche, Oguri haussa des sourcils, puis il ramena son regard sur le plafond et soupira, enfin il sourit et dit.
-Bonjours.
Oguri sourit et poursuivit.
-Et toi, pourquoi tu essaie d'aller en douce dans la salle de bain ? Tu a peur de quoi ?
Oguri fit un sourire insolent, il n'avait même pas prit la peine de regarder ses colocataire, son regard été resté fixé sur le plafond.

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Misuzu à quattre pattes se dirigeait vers la salle de bain incognito quand tout à coup elle entendit la voix du garçon qui était sur le lit l'interpelée.
Misuzu croyant que personne ne l'avait vu se retourna vraiment passant pour l'diote du groupe.
Misuzu très génée se releva tant bien que mal et répondit au garçon ne regardant pas les autres colocataires de peur d'exploser de honte.

-Hum et bien...(regardant tout autour d'elle Misuzu cherchait une exuse valable voyant qu'il y avait sa bague par terre elle l'a pris comme exuse)au moment ou vous êtres entrés dans la chambre je j'ai fais tomber ma bague vers la salle de bain alors je me suis baissée pour la ramasser voilà tout.

Oguri sourit et prit même la peine de regarder la fille, il se tourna et s'assit sur son lit, tout en la regardant il dit.
Ouais, c'est ça !
Oguri regarda la fille, puis il se rallongea, et reposa son regard sur le plafond, puis il dit.
-Moi c'est Oguri.
Oguri c'était mit a penser a son frère, lui aussi chercher toujours des excuses, Oguri sourit, puis il mit sa main dans sa poche et en sortit une photo de Korozaki, il ressemblé un peu a Oguri, sauf qu'il était blond au yeux bleu, mais sinon ils avait le même nez, et la même bouche, Oguri resta un moment a contempler la photo, la photo était plein de plis, mais Oguri s'en fichait, ce qui lui importait était que l'on voie son petit frère qu'il aimait tant, durant les trois ans de prison de Oguri c'était la seul chose qu'on lui avait permit de garder, cette photo avait une grande valeur sentimentale, enfin il rangea la photo, puis il regarda la fille (Misuzu) puis lui dit.
-Et toi, tu t'appelle comment ?

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Misuzu toujours très génée par ce qui était arrivé écouta Oguri se présenter à elle et elle le regarda entrain de regarder un papier qu'il avait dans sa main comme si c'était quelque chose précieux Oguri avait l'air mélancolique lorsqu'il regardait le papier,elle était trop loin pour voir ce que c'était,quand Oguri lui demanda son prénom alors elle lui répondit.

-Et bien je m'appelle Misuzu et je viens d'arriver dans le pensionnat et je m'y plais bien et toi tu t'y es adapté?en disant ces mots Misuzu ramassa les livres qu'elle avait fait tombé un peu plutôt ainsi que ses vêtements

Oguri soupira en repensant a son frère, ce n'était pas un soupire d'ennui, mais plutôt un soupire nostalgique, il devait se retenir de ne pas verser une larme, heureusement il avait subit un entrainement spécial pour se genre de situation, donc aucune larme ne coula, enfin la fille parla et dit qu'elle s'appelait Misuzu, elle dit aussi qu'elle venait d'arriver au pensionnat et qu'elle si plaisait bien, ensuite elle lui demanda si lui si était adapter, Oguri sourit et dit à Misuzu.
-J'ai un peu...
Oguri repensa a ses ordres et il décida de changer sa phrase.
-Euh... oui !
Oguri était un peu stressé et on le ressentait dans sa voix, mais il réussit a se reprendre et demanda a Misuzu.
-Euh... c'est quoi ton pouvoir ?

Invité

Tout en écoutant Oguri parler Misuzu ramassait sa valise éparpillée au beau milieu de la chambre.
Quand il lui demanda son pouvoir.
Misuzu répondit un peu hésitante.

-Et bien je peux voir l'avenir mais....

Misuzu s'arreta netelle allait lui révéler que son pouvoir ne marchait pas vraiment dans le pensionnat comme si un charme le flottait autour alors elle se retint et reprit avec une autre question.

-Et toi quel est ton pouvoir?

Oguri sourit, il regarda Misuzu et lui dit.
-Sa doit être pratique de lire dans l'avenir.
Ensuite Misuzu demanda a Oguri quel était son pouvoir, Oguri continua de la regarder, puis il lui dit.
-Mon pouvoir est celui de la lumière, mais pas une simple lumière, une lumière qui peut atteindre un tel puissance qu'elle peut désintégrer quelqu'un ou quelque chose !
Oguri sourit, puis il ramena son regard sur le plafond, il se demandait comment allait réagir ses colocataires, son pouvoir pouvait être très dangereux.

Invité

En apprenant le dangereux pouvoir de Oguri Misuzu fut pétrifiée tous son sang ne fit qu'un tour dans son corps elle resta un moment paralysé avant de reprendre l'air de rien.
-Wouah!!!ton pouvoir est impressionnant,impressionnant mais un peu terrifiant.
On dirait que mon pouvoir n'est rien face au tien disa t-elle en faisant mine de rire.
En faite elle était térrifiée.